Voici les fruits de belles rencontres à partager : Avec Lucie-Valentine, Michelle Budria, Marie Velasco, David Prévost, Olivier Rougier, Véronique St Germain...
Paroles : William Larqué/Livia Phelizon/Valentine Croughs
Musique : Livia Phelizon/Valentine Croughs
Salut, c’est moi Lucie
Ça fait bizarre de s’voir en vrai
Qu’est-ce que tu bois, un campari
Bouge pas, j’y vais, j’ai d’la monnaie
Oui, moi aussi, j’adore Paris ?
Ça bouge, ça danse, ça vit la nuit
Mais j’me sens seule, malgré tout ça
J’ai pas le temps pour ces choses là
Alors voilà, moi j’en suis là
Pas de projet, pas de bébé, pas de maison
Pas de voyage, pas de mariage
J’ai besoin d’une histoire à la con
C’est quoi ce petit sourire
Et ce regard de chien battu
T’emballes pas, j’te vois venir
Pas d’sentiments, ça j’en veux plus
Pourquoi tu dis que je suis belle
Ca rime à quoi, t’as pas compris
Oui c’est peut-être un peu cruel
J’ai pas le temps pour ces conneries
Alors voilà, moi j’en suis là
Pas de projet, pas de bébé, pas de maison
Pas de voyage, pas de mariage
J’ai besoin d’une histoire à la con
On va chez toi, on va chez moi
Les mots doux, les bijoux, sans façon
Pas d’attache, pas d’illusion
M’embrasse pas, enlève ton pantalon
Si j’parle comme ça
C’est simple tu vois
J’ai trop pleuré, trop souffert jusque là
Mais si j’osais si je faisais un pas
Toi tu m’regardes d’une façon qu’j’connais pas
Alors voilà et pourquoi pas
Des projets, un bébé, une maison
Un voyage, un mariage
J’ai besoin d’une histoire en béton
On va chez toi, on va chez moi
Les mots doux, les bisous pour de bon
J’me laisse aller dans tes bras
J’ en veux plus des histoires à la con
J’me laisse aller dans tes bras
J’en peux plus des histoires à la con
Tous droits réservés
Paroles : Lucie-Valentine / Jérôme Pinel / William Larqué
Musique: Lucie-Valentine
Bam, dans la rame de tram
Des corps s’enflamment
Des bouts de vie crament
En ce jour infâme
Dans la rame de tram
Le cri des quidams
Assourdit le vacarme
Des sirènes, des alarmes
Alerte à la bombe
Explosion des repères
La folie sème les tombes
Zone rouge, rouge colère
Bam ! Au soir de ce drame,
Qui a criblé de lames
Le coeur d'hommes et de femmes
Volé en éclat de larmes,
Une jeune fille slamme
La triste trame
D’une voix froide et calme
À vous tordre l’âme
Je sors du lit.
J'enfile un pull.
Mon aspirine
Finit ses bulles
Hier soir j'ai ri
Hier soir j'ai bu
Hier soir j'ai ri
Dans toutes les rues.
A la radio
J’entends des cris
C'est quoi le topo
Ca parle vite
J'ai pas compris.
Y a-t-il dans les rues
Comme à Paris
Des fous qui tuent ?
C'est sur ma ligne
J'habite au terminus
Dans ma cuisine
L’air diminue
Sous ma poitrine
Tout remue
J'ai mal au bide
les textos ne passent plus.
Par un matin terrible
Où mes rêves s'emmêlent
Dans un monde en dérive
J'ai 20 ans à Bruxelles
Dites-moi que la vie est belle
Qu'on n’a pas fini de rire,
de se rouler des pelles,
Qu’est-ce qui nous arrive ?
Alerte à la bombe
Explosion des repères
La folie sème les tombes
Zone rouge, sans frontières
Alerte à la bombe
Explosion des repères
La folie sème les tombes
Zone rouge, rouge amer
On me l'aurait dit
Je l'aurais pas cru.
Pas jusqu'ici.
Pas dans nos rues.
Y'a plus de cris,
Ni d’sirènes qui hurlent
Bientôt minuit
Bruxelles s'est tue !
Tous droits réservés.
Paroles : William Larqué / Michelle Budria
Musique : Michelle Budria
Arrangements Nicolas Vielle
Tous ces gestes d’amitié…
Comment pouvais-je y songer ?
Des yeux qui me comprennent
Des mains qui se tendent vers moi
Tant de mots qui me soutiennent
Qui m’apaisent bien des fois
Et surprise par tant d’amour
J’ai sur le cœur un sourire
Qui m’appelle nuit et jour
Sans parler pour ne rien dire
Ce sont des bulles d’air
Des bulles d’amour
Mon nécessaire
Ma trousse de secours
Je suis là tranquille
Plus forte que fragile
Ils se font parfois discrets
Ou, bousculent toutes mes idées
M’escortent d’un regard
Tapent du poing sur la table
Me bercent certains soirs
Quand le doute est palpable
J’ai les pieds ancrés au sol
Les yeux baignés d’océan
Dans la main votre boussole
Tout me pousse de l’avant
Ce sont des bulles d’air
Des bulles d’amour
Mon nécessaire
Ma trousse de secours
Je suis là tranquille
Plus forte que fragile
Et je pourrais à mon tour
Etre un roc, un shamallow
Offrir à ceux qui m’entourent
Ces gestes qui rendent beau
Ce s’ront des bulles d’air
Des bulles d’amour
Leur nécessaire
Leur trousse de secours
Ils seront tranquilles
Plus forts que fragiles.
Tous droits réservés.
Paroles : William Larqué
Musique : Marie Velasco
Les mots peuvent parfois
S’écouter en silence
C’est un art délicat
Une fleur de patience
Ils plongent dans les cœurs
Où l’amour les inonde
Et résonnent en chœur
Quand les regards se fondent
Un geste doux connu
A force d’habitude
Etonne l’imprévu
Renoue les certitudes
Une expression rieuse
Accrochée à des lèvres
Offre la plus heureuse
La plus douce des fièvres
Sans le dire une seule fois
Te le faire comprendre
Comme la première fois
Le taire mais l’entendre
En effleurer les mots
En saisir les silences
En percevoir l’écho
En respirer l’essence
Même si nos sourires
En laissent d’autres blêmes
Et quoi qu’ils puissent en dire :
Je t’aime
Car c’est vrai qu’il est doux
Aussi de se les dire
Les entendre j’avoue
Me trouble, me chavire
Même si nos silences
Savent se deviner
Ces mots ont dans leur science
Des joies inespérée
Se le dire chaque fois
Comme pour se l’apprendre
Comme la première fois
A vouloir se surprendre
En garder les trois mots
En aveu de confiance
Les graver sous la peau
Dans nos cœurs, en alliances
Même si ton sourire
A lui seul est poème
J’aime t’entendre me dire :
Je t’aime.
Interprétée par ALiOS
Tous droits réservés.
William Larqué/David Prévost
Qu'on aime ou qu’on n’aime pas
C'était quand même pas un…
Qu'on aime, qu’on n’aime pas
Son requiem pour un…
Qu'on aime ou qu’on n’aime pas…
Aux armes et cætera
Son air, sa
gitane,
Le cuir mal rasé
L’odeur des bécanes
Domptées par BB
Tabous, malaises
Têt’ de chou singulière
Ne vous déplaise
Il avait tout pour plaire
Sea, sex and sun
Babylone, Jane B.
La plume est un gun
De poète maudit
A vif, à nu
Son âme suppliciée
Pas un alcool ne tue
Les amours délaissées…
Qu'on aime ou qu’on n’aime pas
C'était quand même pas un…
Qu'on aime, qu’on n’aime pas
Son requiem pour un…
Qu'on aime ou qu’on n’aime pas…
Aux armes et cætera
Mister provoc'
Dans l'collimateur
Des Paras-choc
Plantés d’un bras d'honneur !
Insoumis il redonne
Tout son sens initial
A cet air qu’à Kingston
Il voulut tropical...
Qu'on aime ou qu’on n’aime pas
C'était quand même pas un…
Qu'on aime, qu’on n’aime pas
Son requiem pour un…
Qu'on aime ou qu’on n’aime pas…
Aux armes et cætera
Version initiale - Labo2 Astaffort 26 juin 2019
Tous droits réservés.
Paroles : Olivier R & William Larqué.
Musique : Romuald Bunel.
Interprétée par Olivier Rougier en hommage à Claudio Oliveira,
pêcheur sur la Ria d'Aveiro, au Sud de Porto, rencontré en 2015.
De ta barque colorée
Tu tires de mon sein
Tes filets, dos courbé
Pour nourrir les tiens
De mes brumes matinales
Je te tisse un écrin
Près de l’onde abyssale
De l’océan voisin Oho !
Loin de moi tu as goûté
Appâté par le gain
L’acier des chalutiers
Celui dont on revient
Sur les ors de ma lagune
Tu ne regrettes rien
Ton abri de fortune
Nos rendez-vous marins Oho !
Je suis Ria, Ria
d’Aveiro
Je berce de mes flots
Protège de mes bras
Cet enfant qui n’est pas de moi
Je suis Ria, Ria d’Aveiro
Claudio
Mes rives t’ont vu grandir
Seul, face aux vents salins
Partir puis revenir
Comme on suit son destin
Le bleu profond de tes yeux
Sait tout de mes confins
Et tu n’es pas de ceux
Qui m’épuisent sans fin Oho !
Je suis Ria, Ria d’Aveiro
Je berce de mes flots
Protège de mes bras
Cet enfant qui n’est pas de moi
Je suis Ria, Ria d’Aveiro
Je berce de mes flots Protège de mes bras
Ce garçon qui prend soin de moi
Je suis Ria, Ria d’Aveiro
Claudio
Et fière comme une mère
Plus lourd est ton fardeau
Plus tendre est ma prière
Claudio, mon Claudio !
Je suis Ria, Ria
d’Aveiro
Je berce de mes flots
Protège de mes bras
Ce garçon qui vit près de moi
Je suis Ria, Ria
d’Aveiro
Je berce de mes flots
Protège de mes bras
Cet homme qui prend soin de moi
Je suis Ria, Ria d’Aveiro
Claudio
Tous droits réservés.
Paroles : Lucie-Valentine / William Larqué
Musique : Lucie-Valentine
Adaptation française de la chanson de Lucie-Valentine « Sister »
P’tite sœur, ne sois pas si triste...
Je t’aime d’un au-delà, où la nuit se mêle au jour
Et même si la douleur existe
Je t’en prie, poursuis ton parcours.
P’tite sœur, tu dois te battre
Si ton cœur est lourd, libère tes larmes
Dans tes yeux, rallume la flamme
Regarde le ciel, tu verras… ton étoile
P’tite sœur, ça ira
Si tu penses à moi
Souviens-toi
Va, vis, deviens, sois sereine
On peut mener son combat
Malgré sa peine
P’tite sœur, suis le fil de l’eau.
Chemine, légère et libre, n’en fais pas plus qu’il n’en faut
Tu as des racines et des ailes
La vie se lève, souris-lui, elle t’appelle ?
P’tite sœur, ça ira
Si tu penses à moi
Souviens-toi
Va, vis, deviens, sois sereine
On peut mener son combat
Malgré sa peine
Si jamais tu tombes
Ecoute ton cœur qui bat
Il te soufflera en songe
Des mots comme ceux-là
Entends sa voix !
P’tite sœur, ça ira
Si tu
penses à moi
Souviens-toi
De
l’or coule dans tes veines.
N’aie pas peur, crois en toi
Ça vaut la peine. Ça vaut la peine
Tous droits réservés.
Paroles & musique : David Prévost/William Larqué
Dans mon lit, tôt ou tard
De longues insomnies
De sombres cauchemars
S'affrontent au milieu de mes nuits
Ça rumine… dans ma tête
Pour tromper l’ennemi
Pour que tout ça s’arrête
Je me lève à moitié groggy
Ces quelques pas auront suffi
A réveiller mon appétit
Elle est juteuse à souhait
Madame Rose
Jaune et rouge à croquer
Madame pose
Langoureuse, aguicheuse
Dans ma corbeille à fruits, Pink Lady !
Langoureuse, aguicheuse
Dans ma corbeille à fruits, Pink Lady !
Folle envie, tentation
Face au fruit défendu
Attraction, répulsion
Le goût d’un paradis perdu
J'ai la dent, jolie môme
Sans pépin, sans remord
Ta peau contre ma paume
Et je te mords et te remords
Ces parfums troublants ont suffi
A réveiller mon appétit
Elle est juteuse à souhait
Madame Rose
Jaune et rouge à croquer
Madame pose
Langoureuse, aguicheuse
Dans ma corbeille à fruits, Pink Lady !
Langoureuse, aguicheuse
Dans ma corbeille à fruits, Pink Lady !
Tous droits réservés.
Paroles : Michelle Budria & William Larqué
Musique : Michelle Budria
Arrangements : Olivier Quesada Tolosa & Nicolas Vielle
Je n’pourrais plus jamais vivre
Sans tourner les pages de mon livre
Je n’pourrais plus jamais vivre
Prisonnière de mon bateau ivre
Je n’pourrais plus jamais rêver
Sans regarder le goéland voler
Je n’pourrais plus jamais rêver
Si je reste sous la pluie à pleurer
Va ! par-delà les océans
Prends le vent, les courants ascendants
Fouettée par les embruns
Grisée d’iode et de sel
Les yeux mi-clos…au loin
Les vagues hantent le ciel
De rumeurs que je veux oublier
Laisse passer l’orage, t’en fais pas
Au-dessus des nuages suit ta voie
Comme, Jonathan nous disait
Je n’pourrais plus jamais croire
Sans écrire un peu de mon histoire
Je n’pourrais plus jamais croire
Si Je reste… au pied de ce phare
Va ! par-delà les océans
Prends le vent, les courants ascendants
Fouettée par les embruns
Grisée d’iode et de sel
Les yeux mi-clos…au loin
Les vagues hantent le ciel
De rumeurs que je veux oublier
Laisse passer l’orage, t’en fais pas
Au-dessus des nuages suit ta voie
Comme, Jonathan nous disait
Laisse passer l’orage, t’en fais pas
Au-dessus des nuages suit ta voie
Comme, Jonathan nous disait
Laisse passer l’orage, t’en fais pas
Au-dessus des nuages suit ta voie
Comme, Jonathan nous disait.
Tous droits réservés.
Paroles : William Larqué
Musique : Véronique Saint Germain
Il est toujours là
Près de mon lit
Ce cliché de toi
Pris à Paris
Quand mon ciel se voile
De rêves gris
Comme une étoile
Dans l’infini
Où tout commence
Où tout finit
Maman j’y pense
Jamais j’oublie
Ton doux sourire
Il est toujours là
Comme un voyage
Que j’ai fait cent fois
Page après page
Quand mon cœur dévoile
Sa peur du vide
Comme une étoile
Dans l’infini
Où tout commence
Où tout finit
Il chante, il danse
Il reprend vie
Ton doux sourire
Il est toujours là
Près de mon lit
Ce cliché de toi
Qui me sourit
Quand je mets les voiles
Vers aujourd’hui
Comme une étoile
Dans l’infini
Où tout commence
Où tout finit
Malgré l’absence
Il reprend vie
Mon doux sourire;
Tous droits réservés.
Paroles : Michelle Budria/William Larqué
Musique : Michelle Budria
Je ne suis pas toute seule
À déposer les armes
Je ne suis pas toute seule
Tant d’hommes, tant de femmes
Ne veulent plus de ces guerres
Plus de larmes ni de sang
Versés sur la terre
Par ses enfants
Je ne suis pas toute seule
A briser mes chaînes
Je ne suis pas toute seule
Tant d’autres ont pris la peine
De voir nos différences
De peaux, de cœurs, de genres
Comme autant de chances
Une évidence
Marche avec moi
Viens, donne-moi la main
Pas après pas
N’attendons pas demain
Chante avec moi
Sur un nouveau chemin
Pas après pas
Ensemble allons plus loin !
Je ne suis pas toute seule
A replanter des arbres
Je ne suis pas toute seule
Tant d’hommes, tant de femmes
Désirent que notre Terre
Soit bien dans son assiette
Ne manque pas d’air
D’eau, de lumière
Je ne suis pas toute seule
Face au grand dieu dollar
Je ne suis pas toute seule
A changer de regard
Et demain plus qu’hier
Acteurs d’un nouveau monde
Casser les barrières
Pour ce qui compte
Marche avec moi
Viens, donne-moi la main
Pas après pas
N’attendons pas demain
Chante avec moi
Sur un nouveau chemin
Pas après pas
Ensemble allons plus loin !
Je ne suis pas toute seule
À déposer les armes
Je ne suis pas toute seule
Tant d’hommes, tant de femmes
Ne veulent plus de ces guerres
Plus de larmes ni de sang
Versés sur la terre
Par ses enfants
Je ne suis pas toute seule
À entendre l’alarme
Je ne suis pas toute seule
Tant d’hommes, tant de femmes
Osent enfin se lever
Pour bâtir et chanter
On monde de paix
De liberté
Marche avec moi
Viens, donne-moi la main
Pas après pas
N’attendons pas demain
Chante avec moi
Sur un nouveau chemin
Pas après pas
Ensemble allons plus loin !
Tous droits réservés.
Paroles : William Larqué
Musique : William Larqué / Marie Velasco
Ciel de plomb sur les toits nuit et jour
Monoxyde, eau chlorée, souffle court
Stress et particules fines…
Je voudrais changer d’air !
Routine en jungle urbaine en mode hipster
Trafic chargé sur rocade extérieure
Fastfood et caféine ;
Tout défile à l’envers
Dans mon rétroviseur…
Je pars me mettre au vert !
Autour de moi
Oppressante atmosphère
Tout le poids
De tout un savoir-taire
Dont je suis à la fois
La victime et le coupable !
Vu l’ampleur des dégâts
Complice inavouable !
OGM fardés de glyphosate
Elevage compulsif et nitrates
Pour nappes phréatiques…
J’aimerais voir la mer !
Dauphins pris dans des filets dérivants
Marées d’oiseaux mazoutés recrachant
Des vagues de plastique ;
Au nord les ours polaires
Font rougir les écrans…
A-t-on forgé l’enfer ?
Où que je sois
Oppressante atmosphère
Tout le poids
D’un grand plan suicidaire
Qui cautionne à tout va
Tout ce qui reste rentable !
Lequel de moi criera
Au crime inavouable ?
Atmosphérique, spatiale, aquatique
Radioactive, diffuse, électromagnétique
Lumineuse, thermique, industrielle
Biologique, sonore, chimique ou visuelle
Tant de pollutions distillées
Par l’homme dit « civilisé » !
Autour de moi
Oppressante atmosphère
Tous le poids
De tout un savoir-taire
Dont je suis à la fois
La victime et le coupable !
Vu l’ampleur des dégâts
Complice inavouable !
Où que je sois
Oppressante atmosphère
Tout le poids
D’un grand plan suicidaires
Qui cautionne à tout va
Tout ce qui reste rentable !
Lequel de moi sera
Pour l’autre secourable ?!
Tous droits réservés.
Paroles & musique : David Prévost/William Larqué
A la tombée de la nuit
Trois jolies demoiselles
Papotent et rient bien à l’abri
D’une bien sombre ruelle
Dans mon long manteau de pluie
Sans ce vieux lampadaire
Je n’aurais rien vu, rien surpris
De leur joie singulière
Parfois le bonheur inonde
D’éclats de rires fugaces
Toute la beauté du monde
La moindre de nos impasses
Intense moment de joie
Qui comme un éclair passe
Brillant de mille éclats
Subtil, le présent s'efface
Piaffant comme des chevaux
Sur le pavé noir luisant
L'une d'elles lance un : « Go ! »
Et part en trombe en ruant
Criant comme des Furies
Ça pousse, ça rit, ça court
Ça joue du coude... c'est joli
Ça valait le détour
Parfois le bonheur inonde
D’éclats de rires fugaces
Toute la beauté du monde
La moindre de nos impasses
Intense moment de joie
Qui comme un éclair passe
Brillant de mille éclats
Subtil, le présent s'efface
Tous droits réservés.
Paroles : William Larqué / Michelle Budria
Musique : Xanti Legarto / Michelle Budria
Arrangements : Nicolas Vielle / Olivier Quesada Tolosa
C’était pourtant un jour comm’ les autres
Les infos ravalées au café noir
La grisaille faisait son porte-à-porte…
Souffle court, coup d’ cafard…
Départ pour sept heures moins l’ quart.
Je glissais dans l’hiver de mon décor
Au jour des lampadaires, pressant le pas
Sans véritable envie mais sans remords
Juste comme ça !
Je n’étais pourtant qu’une parmi d’autres
Dans le métro bondé, le teint blafard
L’habitude semblait faire partie des nôtres…
Corde au cou, coup de barre…
Faut bien payer son appart !
Quand soudain en travers de mon décor
Un soleil grand ouvert entre deux bras
M’a serrée contre lui comme un trésor
Juste comme ça !
C’était pourtant un jour comm’ les autres
Avant qu’un inconnu sur les boulevards
M’étonne et m’offre un « hug » qui réconforte…
Coup au cœur, coup d’éclat…
Disparu tout mon cafard !
Depuis je vois plus clair dans mon décor
Un soleil s’est ouvert entre mes bras
Me rendant mon sourire comme un trésor
Juste comme ça !
Tous droits réservés.